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Retour aux visites de la SHAR

VISITES ET CONFÉRENCES

 

de la SHAR durant la saison 2004/2005

 

La SHAR vous a proposé

le 12 juin 2005

à Châtillon-Coligny (Loiret)

Rogny-les Sept -Ecluses (Yonne)

et au pont canal de Briare (Loiret)

Une promenade entre Seine et Loire pour découvrir:

-     Les vestiges gallo-romains d'un amphithéâtre du IIeme siècle à Montbouy.

-     Visite de Châtillon-Coligny, petite ville ancienne pleine de charme : remparts, vieilles maisons du XVIeme, patrie de l'Amiral de Coligny, chef des protestants, une des premières victimes de la Saint-Barthélémy, patrie des savants Becquerel dont Henri, prix Nobel de physique (1903), fut le découvreur de la radio activité naturelle, au château belle orangerie du XVIéme siècle, puits attribué à Jean Goujon etc.

Repas dans un restaurant de qualité

-     Découverte du site de Rogny- les Sept- Ecluses : véritable « échelle » pour les bateaux, les écluses de Rogny même désaffectées restent un site unique. Initié en 1605 par Henri IV le canal de Briare dont on fête cette année le quatrième centenaire était destiné à relier la Loire et la Seine (Via Ligeris in Sequnum 1606, Voie de Loire en Seine).

-     Enfin nous irons admirer le magnifique pont-canal de Briare enjambant fièrement la Loire de ses 625 mètres de long (1890)

 

 

Samedi 16 avril 2005, Une visite dans

« LES COULISSES DE LA TOUR EIFFEL »

Symbole de Paris et de la France la Tour Eiffel, depuis son édification en 1889 par Gustave Eiffel, attire des millions de visiteurs.

Nous vous proposons une découverte fascinante et insolite de ses coulisses. Sous la houlette d'un conférencier nous pénétrerons dans la surprenante salle des machines d'origine qui contrôle toujours les ascenseurs depuis 1899.

Au cours de cette visite exclusive les aspects les moins connus de la Tour Eiffel nous seront contés. Au premier étage nous verrons la galerie technique et les espaces d'animation. L'accès au 2eme étage sera libre.

 

 

Le samedi 19 mars 2005

UNE VISITE AUX CARRIERES DELACROIX A IVRY-SUR-SEINE

 

Il y a 150 ans se dressaient sur le plateau surplombant Paris dans sa partie sud de nombreuses « roues de carriers », ustensiles rudimentaires qui permettaient à un homme seul de remonter à la surface des blocs pesant jusqu'à une tonne. Ces constructions ont toutes disparu.

Aujourd'hui il ne reste, comme seul témoignage, que les carrières, vaste cathédrale souterraine, témoin en négatif du laborieux travail de ces ouvriers qui ont participé à la construction des principaux monuments de Paris et de ses environs.

Par cette visite, nous vous proposons de découvrir ces vestiges et l'histoire de ces carrières.

La visite sera commentée par Monsieur Marc VIRE, maître de conférences, historien des carrières.

Il nous racontera avec sa fougue habituelle l'histoire de ces hommes, les techniques utilisées dans leur rude travail et la réutilisation assez surprenante de ces galeries dans ces périodes récentes.                                                                      .

Nous vous conseillons d'être bien chaussés et de vous munir d'une lampe de poche.

Départ à 14 h place du général de Gaulle Retour vers 17 h.

Participation: 7,50 € Inscriptions à l'accueil de l'Arc-en-ciel à compter du

jeudi 10 mars à partir de 14 h.

En cas de désistement, même de dernière minute, nous contacter au 01 46 86 16 41 ou 01 46 87 79 82.

 

 

Le samedi 12 février 2005,

La visite de la GALERIE d'APOLLON au musée du Louvre.

Après trois ans de restauration, la galerie d'Apollon est rouverte au public. Chef d'oeuvre du Palais du Louvre, c'est en 1661, au début de son règne que Louis XIV va demander à l'architecte Le Vau et au peintre Le Brun de reconstruire cette galerie détruite par un incendie quelques mois auparavant. Le Brun va la dédier à Apollon, Dieu du soleil, allégorie du pouvoir royal absolu naissant.

Symbole politique fort, la galerie d'Apollon servira de modèle à la galerie des glaces lorsque le roi décidera de transporter la cour à Versailles, ce qu'il n'envisage pas encore ; et il ne peut imaginer qu'elle ne sera achevée qu'en 1851 lorsque Delacroix réalisera son «Apollon vainqueur de serpent Python».

Longue de 60 mètres, avec une voûte qui culmine à 15 mètres, elle regroupe dans un décor luxuriant 105 peintures, sculptures, tapisseries et stucs. Les bijoux de la Couronne ne pouvaient trouver plus bel écrin ; ils sont en effet exposés au public dans cette galerie, et nous pourrons admirer par exemple « le Régent » diamant de plus de 140 carats qui illumina le glaive  de Napoléon ou les émeraudes de l'impératrice Marie-Louise.

 

Le samedi 22 janvier 2005

Une visite de l'Opéra Garnier

La célébrité de cette grande scène lyrique française, la magnificence de l'escalier d'honneur et du foyer récemment restauré, la somptuosité de la salle de spectacle, tout incite à visiter le célèbre Palais Garnier ;       sa     situation    fut    déterminée        par        le      plan  d'urbanisme d'Haussmann.

En 1860, un concours d'architectes réunit 171 candidats. C'est Charles Garnier, grand prix de Rome qui l'emporte. C'est une réussite monumentale du Second Empire mais il ne sera inauguré qu'en 1875 sous la 3ème République !

 

Le samedi 11 décembre 2004

Le musée Clemenceau

ou

Le musée Balzac

 

L'impossibilité d'obtenir des conférenciers en nombre suffisant nous impose de vous proposer deux visites différentes et qui ne pourront pas être interverties ; un groupe pourra donc découvrir l'appartement où Clemenceau a vécu et l'autre la maison où Balzac séjourna.

 

Le musée Clemenceau est situé au 8 de la rue Franklin dans le 16ème. Clemenceau a passé 34 ans de sa vie dans cet appartement qui est devenu le musée et qui est resté tel qu'au jour de la mort du « Tigre », en 1929. S'y ajoute une galerie documentaire qui nous permettra de découvrir la carrière du grand homme d'état que les poilus de la guerre de 14-18 avaient affectueusement appelé « le Père la Victoire »

 

Le musée Balzac : Criblé de dettes c'est un Balzac aux abois qui se réfugie au 47 de la rue Raynouard (16ème) ; afin de fuir ses créanciers la maison qui comporte une double entrée sur 2 rues différentes était au nom de Mme de Breugnol, sa gouvernante. II y vécut près de 7 ans entre 1842 et 1846 et y écrivit plusieurs des chefs- d'oeuvre de la « Comédie Humaine » : La cousine Bette, Le cousin Pons, Splendeurs et misères des courtisanes Le cabinet de travail a conservé son état originel et permet d'imaginer l'écrivain drapé dans une robe de chambre et travaillant des 15 heures d'affilé, dans une fièvre que le café entretenait (sa fameuse cafetière gravée à ses initiales a été conservée). Des gravures et des documents d'époque nous rappelleront la vie et l'oeuvre du romancier dans le contexte de la fin du XIXème siècle.

 

samedi 6 novembre 2004

Visite de l'exposition PHARAON

à l'Institut du monde arabe.

 

Le parcours de l'exposition se propose de retracer les grandes étapes de l'Egypte monumentale, fruit de la puissance de Pharaon. Sont mis en lumière les différentes facettes du personnage de Pharaon, grâce à quelques 200 pièces principalement datées du Nouvel Empire (vers 1250 à 1069 av. J.C.)

 

Ces quelques 200 oeuvres majeures, dont plus de la moitié est prêtée par le musée du Caire, sont présentées pour la première fois en France, tel le colosse de Toutankhamon, étonnante statue de 3 mètres de hauteur.

 

Différents thèmes seront développés autour de la vie de Pharaon, chef d'État, dieu, prêtre-roi, guerrier victorieux, ainsi que les rites funéraires.

 

Le samedi 16 octobre 2004,

La visitedu

 château de Courances

dans l'Essonne

Le château de Courances, dans un décor de verdure et d'eaux miroitantes est caractéristique du style Louis XIII avec ses panneaux de briques, ses toits aigus et son escalier en fer à cheval façon Fontainebleau.

De la visite intérieure on retient surtout la salle à manger d'angle où la lumière met en valeur les boiseries de noyer et la galerie des singes avec des tapisseries du XVI ème siècle.

Mais le véritable enchantement de Courances c'est son parc tracé par le Nôtre et restauré par les Duchêne. Un tapis vert, un grand canal alimenté par la rivière Ecole, des cascatelles et un « miroir» dans lequel se reflète le château.

Quatorze sources jaillissantes se métamorphosent en dix-sept pièces d'eau ; aucune pompe ne fait couler l'eau. Seule une science subtile des niveaux fait cracher «les gueulards», têtes de monstres en pierre sculptée. Les eaux courantes (Courances), les jeux de la nature et des perspectives, les camaïeux de verts font de Courances un lieu unique d'une surprenante beauté.

 

La SHAR vous propose

Le samedi 25 septembre 2004,

La visite de l'exposition

« Au temps des mammouths »

à la Grande Galerie de l'Évolution.

Cette exposition nous mènera au temps du mammouth laineux il y a 20 000 ans...

Nous découvrirons un troupeau de sept squelettes de mammouths et une momie de bébé mammouth dans un état de  conservation stupéfiant.

Des objets d'art exceptionnels issus de collections des musées russes ou ukrainiens : des outils, des bijoux, des « Vénus » témoignent d'une activité intense et d'une longue relation entre les hommes et les mammouths 35 000 ans à 10 000 ans avant notre ère.

Le mammouth n'est pas l'ancêtre des éléphants, c'est un éléphant ! II se distingue de l'éléphant actuel par de petites oreilles, une toison épaisse, des défenses hélicoïdales plus longues et plus lourdes, enfin une trompe à 2 doigts opposables et préhensiles. La taille de ce géant était de 2m à 3,5m ; il pouvait peser jusqu'à 5 tonnes dont 50 kg de défenses et 100 kg de trompe.

L'exposition sera commentée par deux conférencières.

 

Dans le cadre des journées du patrimoine

Samedi 18 septembre 2004 à 10 h du matin

 

Visite de l’Aqueduc Médicis

Du Regard n° 1 au Regard n° 2

Rendez-vous rue du Belvédère, près du Regard n° 1

N’oubliez pas de vous munir d’une lampe de poche et de votre paire de bottes.

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